L'art au 21 éme siecle :

Depuis le début du néolithique l'Homme a cherché à aller plus loin que ses paires

Nous pouvons dire qu'il a progressé jusqu'au début 19 éme dans sa forme figurative.

Puis est apparue entre temps la société industriel et le temps libre, l'Homme de base c'est à dire nous autre, nous avons eu un peu plus de temps pour penser.

Nous avons eu l'accès à l'instruction, la page culture c'est offerte. De trois bouts de ficelle du papier nous pouvons s'exprimer et transmettre.

Le peuple c'est mis à récréer une vision propre à sa génération, propre à son message de l'instant. Par petite touche impressionniste pour commencer... Changer la vision du monde par l'art.

Puis le monde est devenu de plus en plus industriel et l'homme moderne de plus en plus stressé, allant de mouvement artistique en mouvement excentrique. La génération suivante détruit la précédente.

Pendant que l'art a été de destruction, en descontruction, au sommet rien n'a changé, l'illusion que nous pouvons transformer le monde par l'art continue... Elle se fait mais pas à la vitesse de nos pensées utopiques.

Les mouvements sont des vecteurs d'idées pour faire avancer le monde.

En ce moment le mouvement est post quelque chose. Donc il y a un avant autre chose.

Le moment de l'avant garde est là !

Notre grand dernier mouvement était l'abstraction... qui est la résolution simple d'une équation mathématique, on a enlevé toute la distraction Raphaélique de l’œuvre, pour en faire de la lumière. Pour nous dire qu'il part du Zéro et va à l'infinie pour retouner à zéro.

Et il en a fallut des expos, des mécènes, il en faut encore des gens qui spéculent sur une équation à l'image de la bourse actuelle... mais qui ne ressemble plus à la vie. L'art ne vaut rien, la vie est inutile quand elle ne serre à rien, ou que de produire ce qui la détruit.

L'art du 20 éme siècle a été témoin de la destruction de la vie, de construction de mouvement protestatiare, il est devenu social, revendicatif, démocratique.

Il y a quelque chose détonnant plus on avance dans le temps et plus l'art se dénature. A l'image de ce que nous voyons pour beaucoup d'entre nous, quand nous regardons à notre fenêtre... Nous représentons ce que nous avons sous nos yeux.

A la limite ce n'est pas l'artiste qui choisi le sujet mais l'environnement qui lui propose. A la force de le voir nous nous accommodons et nous lui trouvons une beauté singulière.

Nous pouvons alors dire que l'artiste est victime de son temps. Et que l'art n'a jamais changé, nous ne somme que des reporters qui cherchons à marquer notre temps par un nouveau moyen d'expression.

Nous cherchons à émouvoire l'opinion publique de nos visons , par un nouveau style, moyen d'expression.

Le fond est le même... Il n'y a rien de mystérieux, rien que le génie à renouveler la présentation du manifeste.

L'artiste reste le journaliste qui n'a pas le droit d'écrire le texte, il le dissimule discrètement dans son oeuvre, par subversion, par diversion, sublimation... tous les moyens sont bons pourvu que nous soyons remarqué, vue, entendue, écouté.

Mais la haut il y toujours rien qui bouge, la vison reste unique, l'ordre du pouvoir reste une hiarchie établie.

Tout ça on s’en fou complètement, quand on a compris qu'il ne faut pas faire partie de aucun système, enfin minimiser son intervention. Le système c'est nous qui le fabriquons et qui le nourrisons.

Le but actuel c’est de s’inspiré de ce qui a été fait, de ne pas commettre les mêmes erreurs... Mais comment ?

Il faut un mouvement qui soit dans la continuité de la l’évolution, retourné à ce qui n’a pas été fait, surtout pas un mouvement contestataire du system en place.

Un art libérateur, que chacun d'entre nous se libere de sa propre auto-censure, cré sa propre personnalité au travers de son propre art.

Nos maitres nous ont ouvert des portes, c'est à nous d'utiliser toutes ses portes, nous pouvons en créer encore d'autre, et liberer nos âmes.

Le prochain mouvement est dans ce que l'art a toujours été spirituelle.

Toutes les techniques et tous les esprit y sont bienvenu.

 

premier texte 01/01/2014 00:08

texte du 10 11 2014