La vie et la création

 

02/12/2007

Un jour on née, nos parents nous donne la vie comme un immense cadeau.

Cadeau surtout pour eux, ils reproduisent le cycle de la vie. Donnent un sens à leur propre existence qu'ils ont trouvé dans l'amour. La naissance du nouveau venu devint le ciment de leur union.

Cette sensation d'être deux, d'être inséparable de vivre pour son second, et le troisième fruit de nos entrailles.

Cette sensation qui nous rapproche de la vie, la même qui nous en a éloigné lors de notre prise de conscience à l’adolescence, que notre existence est modeler selon un moule, le refus de ressembler à nos parents, la volonté de faire différent, on parle d’affirmation personnel.

Cadeau pour le système un nouveau contribuable, esclave de la société, esclavage qui commence dès notre entré à l’école.

Premier Stress

L’école obligation d'apprendre des choses qui vous serviront à entrer dans le scion, ressembler à un model d'éducation.

Second Stress

Le travail, il faux travailler, correspondre à un emploi, qu’il faut épouser la qualification ainsi convenir au besoin de notre employeur ce qui nous permet de gagner le droit de consommé les produits de notre industrie et de nous nourrire.

Troisième Stress

Par l’intermédiaire d’une avalanche publicitaire de propagande.

Nous sommes pousser à une certaine consommation de tendance, révélant chez certain d’entre nous les plus grands défauts d’étalages de leurs richesses allant jusqu'a vous reprocher et vous dicter votre conduite.

Quatrième Stress

Le surplus de notre sueur est comme qui de droit, imposé par la gente au pouvoir.

Imposition ultime, qui alimente le brasier de la vie en société.

Nous somme tous des sociétaires, nous aimons tous nos droits, nos acquis et moi aussi.

La résilience

Mais la vie n’est pas que cela, dans certains pays nous avons du temps pour pensé, pour mettre en relief nos convictions. Alors nous créons.

Nous créons dans la limite du raisonnable du pensable, afin de resté compris ou ne pas trop s ‘en éloigner.

Ce qui n’est pas si facile, c’est un parcourt semé d’embûche, de détour, même quelque fois il ne faut pas hésiter à faire demi-tour.

La volonté de créer est une œuvre à part entière. Juste la volonté !

Nous n’avons pas besoin de créer pour être des créateurs.

Je le démontre en vous rappelant que dans d’autre pays la création peut être assimilé à des force opposante au régime. Et est sévèrement puni.

Le partage de conviction différente est en elle même le début de discussions, si il y a discussion, il y a débat, idées différente, partage d’opinion, ouverture à une autre vision.

Il y a quelque temps j’ai ouvert sur mon site Internet en 2006, je crois. Le labyrinthe, je ne savais pas pourquoi, j’ai eu ce besoin de mettre toutes mes idées sur le site même celle que je n’aime pas.

Pourquoi je veux faire avec tout.

Tout garder, tout rendre visible.

Je ne sais toujours pas.

Sans doute que la taille direct m’oblige encore à ne pas tricher.

Le labyrinthe est un site au travers un autre site, comme la vie d’artiste et la vie de citoyen.

Le labyrinthe devint petit à petit une oeuvre à part entière en perpétuelle évolution, l’œuvre de la vie.

Le labyrinthe est construit à partir de mes erreurs. Mes recherches, ce n’est pas l’abstraction de règles. Bien au contraire.

Le labyrinthe est comme la conscience de l’inconscience, la mémoire du site.

Le labyrinthe me permet une discussion avec moi même, une discussion que je rends publique, il est comme l’image de l’atelier.

Quand je relis mes pages dans le labyrinthe, je me perds moi même, elles sont avec leurs erreurs indélébiles que je ne puis corriger.

Je les lis sans conviction.

Elle me rappel des moments de certaines inspirations.

Si j’efface l’erreur j’oublie l’inspiration et l’inconscience de la création.

Le labyrinthe est l’atelier visible, les bouillons, la mémoires.

Pourquoi je vous parle du labyrinthe alors que je devais vous parler de création ?

 

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