D’ou je viens ;

Ulrich est né à Château-Thierry dans le sud de l'Aisne en France , le 24 juin 1977.

J’ai grandi dans la région de l’Omois avec quelques séjours dans la Marne, mais c’est à Château-thierry que j’aime vivre, il y a un vieux château visible de toute la ville. Notre région est vallonnée.

Une agréable région du sud l’Aisne qui nous donne l’impression d’appartenir à elle même.

Je n’ai pas l’impression d’être Picard ni Champenois ni Briard. Je suis en Omois. Nous nous trouvons au carrefour de ces trois régions. Mais nous avons notre identité.

De toute façon je ne suis pas Français je suis terrien , je vis pour le monde , je crée pour les autres , enfin j’essaie.

Une façon de se trouver dans notre époque impersonnelle où nous sommes juste des numéros.

Mes études ont contribué à l’apprentissage des techniques modernes, de productions sur machines outilsl et à leur maintenance, mon idée de départ était que vu que l’on peut faire notre travail par des robots l’humanité n’aurait plus qu’à faire de la poésie , s’aimer , aimer les animaux , la planète.

Non rien est de tout cela , l’humanité crée , plus et plus encore etl’homme est l’esclave de la machine. Car les machines appartiennent toutes aux mêmes personnes, ou au même system : la consommation ! Vous l’avez compris de mon âme sensible , je suis touché par ma propre désillusion.

Alors à ma façon je raconte dans la sculpture l’espoir, le refus d’oublier , surtout mon amour à notre planète l’humanité, les animaux , les fleurs.

Il est inutile d’aller contre le courant mais le faire changer de parcourt est plus facile et plus intelligent.

La vie est comme un labyrinthe il ne faut pas hésiter à faire demi-tour ou changer de voie.